Killer Bee se fait voler !

Le temps était beau sur Kumo no Kuni et les nuages venaient heurter les flancs des montagnes, comme toujours. Si les étrangers s’arrêtaient souvent pour observer ce phénomène particulier, les habitants du village de la foudre, eux, finissaient par ne plus y prêter la moindre attention. Seul les couples d’amoureux y prêtaient un peu d’attention, le soir, lorsque les rayons du soleils donnaient une magnifique couleur orangée aux cumulus. De son côté, comme vous devez vous en douter, notre Jinchuuriki préféré n’y prêtait pas la moindre attention. Pour lui, les nuages étaient là, c’était comme cela et il n’y avait pas à disserter là-dessus.


Se baladant dans le village, notre héros se dirigeait vers l’armurerie pour faire quelques achats nécessaires. Il y avait longtemps qu’il n’y était pas allé et son stock d’armes ne cessaient de se réduire : il fallait qu’il refasse le plein, au cas ou… C’est ainsi que, chantonnant un rythme dans sa barbe, notre ami passait au travers des rues sans même que quelqu’un l’arrête pour lui demander un autographe. Il en fût quelque peu surpris, non pas que quelqu’un lui ai déjà demandé un autographe, mais plutôt parce qu’il ne pouvait s’empêcher de penser qu’une foule en délire allait lui courir après. Que voulez-vous, quand on croit avoir du talent… Justin Bieber connaît ça aussi, à son petit niveau.

Après une bonne dizaine de minutes de marche à rythme tranquille, notre héros arriva à l’entrée du magasin qu’il cherchait. Il entra et fit le tour des rayons en une dizaine de minutes. Peu d’objets le tentaient en réalité et les prix étaient très élevé : depuis le temps qu’il n’avait pas réalisé la moindre mission, notre pauvre ami en était complètement fauché ! C’est ainsi que, par défaut, il jeta son dévolu sur deux petites pilules. Une fois qu’il les eu entre les mains, il se dirigea vers la caisse, d’un pas calme et posé. Là, le vendeur lui fit part de ce qu’il lui devait… 100 Ryôs ! Pour deux petites pilules de rien du tout ! Killer Bee n’en croyait pas ses oreilles ! Choqué, il se recula légèrement et prit une position étrange, les bras en avant et la tête légèrement tournée sur le côté. Il dit alors :

« Eh mais, t’es pas un vendeur !
Ton vrai métier, c’est voleur !
Tu vas me faire dormir dehors !
Je veux des armes, pas de l’or !! »

Habitué des petites frasques de notre ami, le vendeur ne bougea pas un cil et répéta simplement le prix, l’air blasé. Dépité, notre ami donna son argent à l’armurier, se jurant qu’il ne reviendrait plus dans cette boutique… Mais comme c’était la seule du village, il n’aurait pas vraiment le choix…

Citation :

Achat de 2 Hyourougan